2021 : an 2 de l’ère du COVID…

… et pas la dernière, loin de là !

Ah, ben oui ! Parce que vous ne vous imaginiez tout de même pas que, même avec des vaccins (pour aussi efficaces qu’ils ont été annoncés, et c’est tout ce que j’espère), on en serait désormais vite débarrassés ? Oh, que non… Mettez-vous bien ça dans le crâne : 2020 n’était que la première année à devoir survivre sous le joug de cette pandémie ! Les masques, les gestes-barrière, tout ça… C’est pas demain qu’on pourra enfin s’en croire dispensés. Ni après-demain. Ni dans un an. Ni dans (insérer un nombre entier d’années ici). Déjà qu’on va sûrement se refarcir un nouveau confinement d’ici quelques semaines au maximum (en tout cas, ne pas en faire un serait une erreur encore pire que celle d’avoir déconfiné dans le seul but de « sauver Noël » pour les commerçants).

Qu’est-ce que vous croyez ? Le virus, il disparaîtra pas comme ça, même si suffisamment de monde se fait vacciner (et on sait déjà qu’à cause des antivaxx, mais pas seulement eux à cause d’inquiétudes légitimes sur les effets secondaires indésirables qui sont quand même une réalité déjà observée, ce sera loin d’être le cas), il faudra recommencer l’opération régulièrement (tous les 6 mois, hein ?), tout au long de nos vies, et vacciner aussi les humains encore à naître… Ce sera sans fin : il suffit qu’une seule personne, sur bientôt 8 milliards, soit contaminée pour qu’elle déclenche un nouveau foyer épidémique qui s’étendra à nouveau sur toute la planète en quelques semaines. Il est donc clair qu’aucun être humain vivant aujourd’hui (y compris ceux qui viennent de naître) ne connaîtra à nouveau un monde sans SARS-COV-2. Et c’est sans compter sur les futurs virus du même type (voire bien plus dévastateurs) qui n’attendent que leur heure pour faire des ravages à leur tour. Car il viendra, leur tour.

Bon, puisque vous ne voudrez pas rester sur une note aussi pessimiste (mais qu’on vienne me prouver que j’aurai tort sur ce point, sachant que seul l’avenir nous le dira), petit bilan de cette année passée sur la plateforme de blogs de Vivaldi : ben, c’était pas mal du tout ! Certes, le WordPress utilisé est amputé de bien des fonctions, mais ça a quand même avantageusement su succéder à Tumblr. En conséquence, je reste sur ce blog hébergé chez Vivaldi.